Risa Y. Hikari [Finish]

I. Personnage

Nom : Hikari
Prénom : Risa Yume
Surnom (éventuellement) : Yumi-Kun, Risa-San, et le reste, c'est à vous de me l'attribuer.
Age : 16 ans

Sexe : Fille
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle

Nationalité : Japonaise, mais d'origine anglaise.
Race désirée : Arme humaine.

Groupe voulu :Admin hihi, mais étudiante.

Description morale

Si l'on devait définir Risa Yume, on donnerait ces mots-ci : "Heureuse ! Joyeuse ! Elle aime la vie et elle lui sourit.". Tout ceci est vrai, bien sûr. La jeune fille est très sociable, du style très délirante, bon public et chaleureuse. Oui mais non. Elle s'énerve aussi très facilement, se laissant entraîner dans des explosions sauvages de colère. Il vaut mieux la laisser se calmer quand cela lui arrive, bien que ce soit rare. Risa accorde une grande importance à l'amitié, beaucoup moins à l'amour. Ce-dernier se résume pour elle a des souffrances inutiles, engendre la haine et en conclusion, est absolument débile. Aucun homme n'a donc réussi à effleurer ses lèvres (à une exception) et elle ne compte pas changer cela de sitôt. Risa compte toutefois des amis de sexe masculin et leur accorde une grande importance. Elle ne souhaite toutefois pas que cette amitié se transforme en amour, comme dans la plupart des amitié mixte.
Au premier abord, Risa est extrêmement méfiante. Elle ne dévoile pas son caractère facilement et encore moins son passé tumultueux. La jeune arme humaine déteste se montrer en position de faiblesse et ses larmes sont plus rare qu'un oasis dans un désert. Risa, comme toute personne normal, possède de nombreux défauts. Sa méfiance, déjà évoqué, mais aussi sa grande obstination, une vraie tête de mule. Elle est aussi très gourmande et ne résiste pas longtemps à l'appel de la nourriture, du fait qu'on la surnomma l'estomac sans fond. En plus de la gourmandise, s'ajoute la paresse. S'il-vous-plaît ... ne la réveillez pas, sinon le pensionnat n'y résistera pas (déjà qu'on a du fermer la cafétéria pendant une semaine ...). Mais en général, Risa est une boule d'énergie sur patte.
Parlons de ses passions, à présent. La musique, c'est sa source de réconfort, après s'être enfuie de chez le Dr. Andersen avec les autres enfants (histoire). Le chant, surtout, mais aussi le piano, la guitare et le violon. La musique l'apaise et elle s'y connaît, du classique au contemporain. Elle apprécie le dessin, qui permet de jeter sur le papier son désespoir ou sa colère. Ou simplement pour le plaisir de créer, ainsi que l'écriture.

Description physique

Risa peut sembler frêle au premier abord, sentiment renforcé par sa petite taille (156 cm) et sa peau couleur porcelaine. Ne vous attardez pas aux apparences, aussi fine soit-elle, elle est aussi agile et précise qu'un chat, aussi puissant que celui d'un tigre. C'est une arme humaine, après tout. Sa petite frimousse, gardant encore quelques courbes de l'enfance, se comporte d'une petite bouche rose souvent étirée par un sourire radieux, qu'elle met en valeur en y administrant une fine couche de gloss chaque matin, surmonté par un nez légèrement retroussé, lui-même surmonté de deux grands yeux vairons. L'un est vert, et s'y l'on s'appproche bien, on aperçoit de minuscules particules de fers tournoyant autour de sa pupille. L'autre est marron. Encerclant son visage de forme plutôt ovale, une cascade de boucles dont la couleur hésite entre le brun et le noir retombe en broussaille jusqu'à ces épaules malingres, souvent laissées nues par leur propriétaire. Des reflets d'un roux léger viennent caresser de temps à autre sa chevelure bouclée et une frange - qu'elle lisse tous les jours - se promène en permanence devant ses pupilles dépareillées, cachant un front plutôt large. Risa possède assez de formes pour attirer les regards, assez peu pour qu'elles ne la gênent pas dans ses mouvements.
Niveau vestimentaire, la jeune fille privilégie les mini-jupes en jean, les hauts jolis, allant du sobre au style "kawaii". La jeune fille s'habille souvent avec des collants ou des longues chaussettes colorés, souvent rayés noires et d'une autre couleur, suivant le reste de sa tenu. Elle apprécie les bijoux, les accessoires originaux. Avec sa démarche féline, gracieuse et rappelant avec légèreté la danse classique, Risa sait évoluer sans aucun bruit, que ce soit des chaussures à très hautes plateformes ou des talons aiguilles à la hauteur vertigineuse. Enfin, elle déteste se montrer en maillot de bain où en sous-vêtement, malgré son corps fin et légèrement musclé. Cela est dû aux cicatrices qui parcourent son corps, suite à ses opérations.

Histoire

Partie I

Risa Yume Hikari était une petite-fille terriblement joyeuse et heureuse, enchaînant bêtise sur bêtise. Elle vivait avec ses parents et son petit-frère, dans un jolie petit village, dans une maison toute bleue et toute mignonne, à deux pas d'une plage remplie de coquillages étonnants. Oui, sa vie était juste parfaite, son destin presque tracé. Alors pourquoi tout s'était-il détraqué ?
Risa rentrait de l'école, son sac sur le dos, en compagnie de ses deux meilleures amis. Akiro Taeku et Miranda Peet. Ils discutaient de tout et de rien, le soleil tapait fort et le mois de juin battait son plein. Les vacances approchaient, et ça se sentait. Les fleurs perçaient la terre, déployant leurs corolles colorés vers le soleil, comme pour en attraper les rayons. Les arbres se couvraient de leur manteau de verdure. Et puis là, un homme les interpella.

- Et vous ! J'ai perdu mon chemin, voudriez-vus bien m'aidez ?

Les trois amis se regardèrent, hésitant sur la conduite à suivre.

- On ne doit pas parler aux inconnus ! souffla Miranda.
- Oui mais il n'a pas l'air méchant, répliqua Akira.
- C'est juste pour un renseignement de toute façon, conclut Risa.

Alors ils s'approchèrent. Miranda resta à l'écart, un mauvais pressentiment au coeur. Les enfants étaient cependant trop jeunes pour percevoir l'éclat de démence qui avait strié un instant les yeux de l'homme. Il était un peu maigre, devait avoir la cinquantaine. Son visage pointu et son crâne dégarnie ne rassurait pas Miranda, encore moins la camionnette aux vitres teintés garé n'importe comment derrière lui.
Il dominait les deux enfants de toute sa hauteur.

- Vous vouliez un renseignement ? demanda Risa.
- On connaît ass... commença Akira.

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que l'homme les empoigna tous les deux par le bras, avant de les jeter violemment dans le coffre de sa camionnette. Miranda hurla et se précipita vers l'homme pour le frapper. Elle ne faisait cependant pas le poids devant lui, et il eut tôt fait de la faire rejoindre ses amis. La camionnette démarra au quart de tour quelques secondes plus tard.



Partie II 2 ans plus tard ...

Risa avait tout juste 12 ans. Cela faisait maintenant 2 années que les enfants étaient séquestrés dans une grande pièce blanche, très lumineuse et très froide. Risa, Akira et Miranda n'étaient pas les seuls. Dans leurs coeur, la peur, la faim, le désespoir.
Ils étaient aux environs d'une dizaine, et ils ne comprenaient absolument pas ce qui les attendaient, à un tel point qu'ils s'en étaient désintéressés. Parfois un enfant disparaissait et on ne le revoyait plus. Des nouveaux arrivaient incessamment, croyant naïvement qu'ils pourraient s'enfuir, des espoirs pleins la tête. Mais ils finissaient toujours par tomber dans le noir. Cela faisait deux ans que Risa et les autres avaient perdus tout espoir, s'enfonçant dans leurs idées noires, dans la morosité et la lassitude. Souvent des bagarres éclataient, souvent pour se disputer la nourriture déposée par l'homme, le kidnappeur.
Un jour il fit irruption dans la pièce et attrapa Akiro. Aussitôt, Risa réagit.

- Non ! hurla Risa en se précipitant vers son ami. Pas lui !

Pleine de désespoir, elle se jeta sur le garçon, qui était devenu très beau avec le temps. Il rejeta sa frange noir, qui lui arrivait jusqu'aux yeux, et se pencha vers elle.

- Risa ... chuchota-t-il, on ne se reverra sûrement plus jamais alors...

Et sur ces mots, il se pencha vers elle, hésitant. La jeune fille sentait le souffle du garçon sur son visage, tel une brume douce et légère. Elle pencha légèrement la tête vers le côté, prête à recueillir le baiser de celui qu'elle avait toujours aimé. Enfin, leurs bouches s'effleurèrent, doucement tout d'abord. Puis, prenant plus d'assurance, le jeune homme prit entièrement possession des lèvres de la jeune fille, l'enlaçant férocement. Quand à Risa, elle posa sa main sur le torse d'Akiro, criant au fond de son âme : "Je ne veux pas qu'il parte, je veux que ce moment dure toujours !". Mais Akiro se détacha d'elle, les yeux humides.

- Adieu Risa, rendez-vous au paradis.
- Nooon ! Non, reste avec-moi ! s'écria-t-elle en attrapant son amoureux par la chemise.
- Risa ... je dois partir, chuchota Akiro.

Et il partit. Comme tous les autres, il ne revint jamais et Risa sombra dans la tristesse, dans la dépression. Elle ne se souvenait plus de son nom de famille.
Un jour, le kidnappeur revint, sans Akiro. Alors elle dit :

- Moi je veux mourir, je veux voir où il est. Emmenez-moi là où vous emmenez les autres.
- Comme tu voudra.

Mélinda, son amie, commença à pleurer doucement. Risa lui adressa un sourire penaud, avant de suivre l'homme. Elle était consciente qu'elle ne reviendrait plus jamais. Cependant, elle restait confiante.
"Rendez-vous au paradis ... Oui Akiro, je te rejoindrais."

- Si tu es là, c'est pour une raison précise, commença l'homme. Mon nom, Dr. Andersen. Nous travaillons sur un projet : transformer des humains normaux en machines de guerres.
- QUOI ? s'écria Risa, c'est QUOI ce délire ?
- Nous allons tenter de t'installer des lames rétractables dans le corps, un oeil aux pouvoirs changeant et nous allons améliorer la condition physi...
- Est-ce que les autres opérations ont réussi ? Les autres enfants sont-ils ...
- Oui, ils sont tous morts, répondit le Dr avec un rictus méprisant.

Elle n'eut pas le temps de répondre qu'il la poussait déjà dans la salle d'opération. Elle vit une pièce blanche, une table, des outils, des gens. Puis elle sombra dans les vapes. Risa rêva. D'abord, une petite maison bleue. Ainsi que des gens, deux adultes. Une femme aux mains douces et à la voix mélodieuse, puis un homme, à la voix rude et grave. Une plage, du bonheur, de la joie. Des bras puissants l'enlacèrent. Akiro-Kun ? Un rêve si doux...
Quand elle se réveilla, un bourdonnement incessant de voix l'accueillit :

- Ca a marché ! Ca a marché !

Elle voyait flou, sa tête était lourde. On la leva sans ménagement. Le dr. Andersen couvait sur elle un regard empli de gourmandise et démentiel. Risa se releva brusquement, apeurée.

- Quoi ? Pourquoi me regardez-vous comme ça ?

Elle tourna la tête et remarqua ses mains. Entre ses doigts, de longues griffes d'aciers avaient pris place. Son corps nu était strié de longues cicatrices d'un rouge éclatant. Risa s'entendit hurler et elle recula, sur le dos et propulsant son corps avec ses jambes. Elle tomba de la table d'opération et s'écrasa à terre. Elle ne ressentit aucune douleur, mis à part un léger malaise.
On lui tendit un miroir et elle ausculta son visage. Son cri resta coincé dans sa gorge, ne produisant qu'un petit gargouillis stupéfait. Son oeil .. droit ... était devenu vert, une cicatrice, semblable à celles qui striaient son corps, parcourait son visage, commençant au-dessus de son oeil afin de se perdre au-dessus de sa lèvre supérieure. Le Dr. Andersen, surexcité, lui expliqua ses nouveaux pouvoirs.
Apparemment, si elle clignait cinq fois de l'oeil, elle pouvait voir l'aura des gens. L'aura montrant leurs émotions ou leur humeur à ce moment précis. Ses griffes étaient rétractables et elle n'en avait pas qu'entre ses doigts. Aussi sur ses avant-bras et de chaque côté de ses hanches. Son corps avait été génétiquement modifié, la transformant en une véritable arme humaine, une machine de guerre.
Un sourire dément étira les lèvres de Risa. Le Dr et ses sbires venaient de lui offrir un véritable cadeau.

- Excusez-moi, mais je ne vous laisserais pas détruire la vie d'autres personnes, articula Risa d'une voix calme.

Et avant qu'ils ne répondent, elle déploya ses lames et fonça vers le Docteur. Elle enfonça ses griffes dans son ventre et le docteur s'écroula au sol, inerte. Risa se pencha vers lui et retira le revolver qu'il gardait dans sa blouse.
Elle sut aussitôt comment tirer efficacement et bientôt, les chirurgiens gisaient à terre. Morts. Elle éclata de rire, ses personnes étaient les responsables. De la mort de Akiro et des autres. Risa, gardant le pistolet à la main s'élança dans les couloirs. Ses jambes battaient le sol puissamment et sa course était rapide. Ses pieds ne semblaient même pas toucher le sol.
Bientôt, elle arriva devant la porte qui donnait sur la pièce où les enfants étaient emprisonnés. Risa défonça la porte facilement et fit irruption, haletante, les griffes maculés de sang. Ses anciens compagnons la regardèrent bizarrement, certains étaient apeurés.

- SORTAIENT D'ICI ! hurla-t-elle, ANDERSEN EST MORT ! ALORS ENFUYEZ-VOUS !

Sur ce, elle tourna les talons. Elle voulait trouver le corps d'Akiro, et mourir dans ses bras. Elle erra longtemps, dans les couloirs, ivre de tristesse. Enfin, elle ouvrit une porte au hasard. Trois corps traînaient à terre, en attente de se faire enterrer. Elle reconnut des cheveux noirs ébouriffés, un visage blanc.

- AKIRO ! hurla-t-elle en se précipitant vers le corps.

Risa le serra contre elle et laissa couler ses larmes, qui dégringolèrent le long de ses joues, pour venir hésiter au bord de son menton, puis s'écraser sur le torse du cadavre. Enfin, elle attrapa le revolver du docteur et le pointa sur son crâne. Le coup de feu partit, et tout devint noir.

Quand elle se réveilla, elle n'était pas au paradis, mais sur une plage.

Pouvoirs ou armes :

Possède un oeil vert qui lit les auras.
Rouge : la colère, rose : l'amour, vert : l'amitié, jaune : le respect, gris : la morosité, bleu : la détermination, violet : la haine, noir : la dépression.
Bien sûr, toutes ces couleurs se mélangent, dures à déchiffrer. Risa s'y connaît peu en aura, malheureusement.
Des lames sortent de son corps. (mains, avant-bras, hanches.)
Elle possède un revolver qu'elle garde dans ses bottes, appartenant au dr Andersen avant.




II. Vous

Prénom/Surnom : Lisa pour vous servir et vous torturer >8D *Courbette*
Age réel : 14 ans
Sexe :Une chieuse, une allumeuse, une MEUF quoi è_é" *Stingstromppbam*

Comment avez-vous connu le forum ? Bah tiens, je l'ai créée, avec ma Hoku-Chan.
Comment trouvez-vous le graphisme ? Magnifique héhé *SBAMPLOUF* Youille, ça fait mal é_è
Votre présence sur le forum sur /20 ? 19/20
Avez-vous lu le règlement ? La vie est un looong fleuve heureuux !
Votre niveau de rp ?


Débutant : 5 lignes ou moins
Débrouillard : 10 lignes environ
Moyen : entre 10 et 15 lignes
Bon : entre 15 et 25 lignes
Très bon : entre 25 et 30 lignes
Maître du RP : Plus de 30 lignes.

Washta, en tant qu'arme humaine, c'est entre bon et maître du RP. Ca dépend d'l'inspi 8D.

Elle est belle ton histoire, ma chérie, et si triste ;___; j'adore

Oh, merci darling, je t'adore (L)

Mais l'histoire n'est pas encore finie \o/

>=3333 ba oui, elle va se poursuivre sur notre île

ça y est j'ai lu l'histoire ! c'est triste ! T_T mais beau !!!!!!!!! :/

Oui, très bien ecrit (comme d'hab ) Très beau mélange de sentiment... Jadore