Ou suis je ? [PV Natsui]

Dans un monde de silence on croie être devenu fou, aucun son, aucun bruit, rien qui nous permet de se sentir vivant. Le corps imbiber de l’eau salée de la mer, une silhouette flotte inconsciente sur l’eau. Vivante, morte ? Elle l’ignore. Dans son monde de silence elle n’a plus de repaire, plus rien pour lui dire si elle est sur la terre ferme ou dans l’élément liquide qui l’enveloppe comme un cocon. C’est alors qu’un bruit arrive à ses oreilles, d’abord semblable à une chanson puis le son devient net, un murmure qui se répète sans fin. Les murmures de la mer.
Les sens reprennent le dessus, la jeune fille qui avait dérivé pendant un certain temps sentie enfin ce qui l’entouré. Le sable entre ses doigts, les odeurs d’iodes qui lui sautent aux narines, le contacte de l’eau contre son corps. Tout.
Doucement elle ouvre les yeux et découvre une plage marteler sans cesse par les vagues plus hargneuses les une que les autres. L’eau monte lentement sur la plage et se mit à lécher son visage qu’elle retira du sable mouillé. Lentement elle se relève avec difficulté, ses membres lui faisaient mal comme si elle avait passé toute la journée à courir. Assise sur la plage aux fin grains de sable, elle tenta de se rappeler se qu’elle faisait la. Des images floues lui parvinrent, sa chute dans le lac volant, et le noir, rien que le noir. Ne trouvant pas de meilleur réponse qu’une malheureuse chute la jeune fille du nom de Mokou se releva et quitta d’un pas lourd la plage et son écume blanche. Elle regarda alors autour d’elle, quel était cet endroit si étrange dans lequel elle était tombée ? Sa semblait être une île déserte, du sable, de la végétation et rien d’autre.

-Mais ou je suis tombé moi…

Tremper jusqu’au os elle décida de remédier à se mal en augmentent la température autour d’elle. Rapidement ses vêtement furent sec et elle décida de découvrir les alentours de cet endroit qui de toute évidence sembler inhabité. Elle suivit un petit sentier percer dans l’herbe qui pousser partout autour d’elle. Le parfum enivrant de fleurs blanches la firent rêver pendant quelque instant. Comment un endroit aux allures aussi accueillantes pouvait être inhabité ?
Suivant le sentier Mokou fini rapidement dans un endroit ou ces mêmes fleurs pousser abondamment ainsi que d’autre aux senteurs tout aussi exquises. Tout en continuant de marcher et de s’émerveiller devant se lieu si magique Mokou fut surprise de se retrouver face à une porte. Oui une porte. Simple, en bois, nullement décoré elle était la planter devant elle dans un mur. Méfiante Mokou ne s’en approcha pas mais la curiosité l’emporte toujours et elle tendit la main vers la poigner et la tourna lentement avant d’ouvrir la porte tout en gardent la même vitesse.
Tel ne fut pas la surprise de la jeune demi-déesse quand en entrent par cette porte aux allures douteuse elle tomba sur un hall lumineux et majestueux aux décorations pompeuses. Droit devant elle à l’autre bout de ce hall presque sortie de l’imagination d’un peintre, un immense et magnifique escalier de bois se dresser. Les fin décorations qui le orner le rendait plus beau que ne l’était le bois dans lequel il était tailler. Partout autour de la jeune fille aux cheveux de neige des meubles se tenait debout portent chacun un vase japonais aux décorations et au trait plus beau les un que les autres, tous excepter un dont le vase avait mystérieusement disparu. Problème chez le créateur ou alors tout simplement tomber par la faute d’une personne maladroite ? Dans tout les cas se malheureux vase avait disparu.
La jeune fille regarda alors tout ce qui l’entourait dans se lieu au aspect étrange, voir irréel. Les pensées ailleurs elle ne fit plus attention à rien laissant pratiquement son corps seul dans se lieu qui abriter des gens et dont un d’entre eu viendrait, tôt ou tard.

Comme je m'ennuyais, j'ai eu envie de sortir me balader en ville, malgré que le soleil commençait à décliner à travers l'azur de la mer. Je suis une nocturne, parce que je ne peux voir ma mère que la nuit tombée.

Je descendis les escaliers d'un pas sautillant, tenant d'une main Teddy, mon petit nounours rose, et la rampe de l'autre. En t repensant, on aurait vraiment dit une petite fille enjouée qui allait cueillir des fleurs dans un jardins ensoleillé, or, dans ma tête, j'étais loin d'être enjouée, je voulais le faire croire aux personnes qui m'entouraient.

En arrivant dans le hall, je vis un nouveau visage. Une jeune fille d'environ mon âge je pense, habillée d'une sorte de salopette rouge sur un haut blanc simple. Elle avait de longs cheveux blancs où étaient attachés des nœuds rouges et blancs. Il y avait des talismans de même couleurs sur son pantalon. Je vous parle d'elle, moi qui ne fais jamais spécialement attention aux personnes qui m'entourent, car je sentais qu'elle avait la même aura que moi, cela m'intriguait, et puis... Elle fixait le meuble sur lequel il y avait le vase que j'avais cassé et dissimulé sous le tapis =www=""" Je voulais passer mon chemin, faire comme si je ne la voyais pas, mais j'entendais une voix résonner dans ma tête, une voix qui me disais d'aller lui parler... Cette voix était similaire à celle que j'avais entendu me chanter ma berceuse à ma naissance, similaire, à celle de maman... Je ne savais pas quoi faire, je suis restée planté quelques instants à regarder cette fille, puis d'un coup, c'était comme si quelqu'un me poussait vers la jeune fille. Je m'arrêtai juste devant elle... Gênée, je finis par émettre un son:

- Bon..... Bonsoir....

Que faisais-je, je ne voulais pas, mais je me sentais obligée de parler à cette fille. Quel sentiment horrible que celui de ne pas contrôler nos faits et gestes, et c'était l'impression que j'avais, pourtant j'avais parlé de mon propre chef...

"Dans quel pétrin je me suis encore mis!!" Pensais-je

Fixant ce meuble qui faisait un peut tache parmi les autres car totalement dépourvu de son élément décoratif Mokou ne remarqua pas l’arriver d’une personne dans cette pièce. Ce ne fut que le son léger de sa voix douce qui la tira de sa réflexion :

- Bon..... Bonsoir....

Mokou se retourna alors fixant de ses yeux rouge sombre la personne qui l’avait abordé. De toute évidence cette fille qui était en face d’elle sembler prise au dépourvu comme si on l’avait forcé à lui parler, comme si elle était victime d’un pari. Mais cela ne préoccupa en aucun cas Mokou, pour l’instant cette personne était devenu son nouveau centre d’intérêt. Elle était plus petite qu’elle et elle semblait bien avoir vers les 16 ans. Vêtu de vêtement que seul la gente féminine peut porter elle avait dans une main…une peluche.
*Un…un nounours rose…mais elle a quel âge cette fille !*
Mokou laissa son regard plusieurs seconde sur le fameux nounours rose avant de reposer un œil sur la jeune fille. Etrange car cette dernière dégager une aura assez similaire à la sienne, qui était elle ? Enfin surtout qu’est elle au juste ? Un être extrêmement influent ou alors tout comme elle une demi quoi que ce soit ? De toute évidence elle était particulière, rien que ses yeux sembler or norme, de la magnifique couleur bleu du lapis lazuli, il dégager une expression d’infinie. Quiconque poserait le regard sur ces deux pierres qui lui servait d’yeux aurait immédiatement était perdu dans les tréfonds de cette couleur si belle.
Une chose préoccupa Mokou quand elle regarder cette jeune fille…ses cheveux. La couleur magenta n’est pas très courante et de plus une comme celle-ci. Dans toute sa longue vie elle n’avait connue qu’une seule personne avec des cheveux aussi spécifique…sa mère adoptive, la Déesse des étoiles et de la Lune, Nagare. Mais en plus de tout, cette « grande gamine » en face d’elle avait une ressemblance assez frappante avec la belle Déesse. Même cheveux, même forme des yeux et du nez. Est-ce que tout était lié ou alors y avait il une grande coïncidence.
Une fille semblable à sa mère adoptive, un lieu pommé sur une île ou sur un continent étrange ou était elle tomber. La tignasse magenta en face d’elle avait peut être la réponse tant attendu, si bien que d’une voix qu’elle voulu agréable elle répondit tout de même à cette jeune fille :

-Bonsoir…heu tu habite ici ? Je peux savoir ou je me trouve ?

La demi-déesse de feu regarda partout autour d’elle comme si une menace allait surgir de n’ importe où, lieu étrange, personne étrange. Etrange plus étrange donne souvent lieu loufoque à tendance étrange, donc en tout rien de bon.

Après un court silence qui s'était installé entre nous 2, le jeune fille me répondis enfin:

-Bonsoir…heu tu habite ici ? Je peux savoir ou je me trouve ?

Toujours forcée par cette voix dans ma tête, je lui répondis:

-Euh, oui, depuis peu mais oui..... Tu es à l'internat Chiyo, ici ne se trouvent que des personnes aux caractéristiques particulières, si tu veux... Des personnes, nées avec des pouvoirs, ou des apparences particulières, me suis-tu?

J'aurai voulu ne rien lui dire et partir, mais je ne l'ai pas fait... Je suis attirer par cette personne, qui, quelque part, me semble familière... Je ne l'ai jamais vu, jamais connue, mais c'est dans sa façon d'être que je percevais quelque chose, une ressemblance avec moi, une ressemblance quelque peu fraternelle si je puis dire. [NDA (Note De l'Auteur): Je ne sais plus comment on dit fraternel mais pour les soeurs xDD et la flemme d'aller chercher ma mère, je changerai au pire plus tard ;P ].

Je ne pus m'empêcher de remarquer que des morceaux du vase que j'avais au par avant casser dépassaient du tapis, se fut donc dans un petit geste vif de la jambe et surtout du pied que je cachai ma bêtise aux yeux de mon interlocutrice en remettant ces morceaux sous la tapisserie de la salle, en souriant bêtement.

"Je dois vraiment passer pour une débile, ça me soule!!!!" Pensais-je, "Mais pourquoi je suis là moi, je voulais juste aller voir maman, comme quoi je suis à chaque fois au mauvais endroit au mauvais moment...."

-Euh, oui, depuis peu mais oui..... Tu es à l'internat Chiyo, ici ne se trouvent que des personnes aux caractéristiques particulières, si tu veux... Des personnes, nées avec des pouvoirs, ou des apparences particulières, me suis-tu?

Un endroit ou vivent des gens avec des pouvoirs ? Un internat ?
*Nan mais c’est quoi cet endroit de fou !*
Alors ce lieu était un…internat pour des gens comme elle, des gens dit « étrange ». Voila donc pourquoi cette jeune fille sembler si étrange voir magique. Elle était surement pensionnaire dans cet endroit depuis peut, jamais une personne ne pouvais développer des pouvoirs qui se voyer avant d’être un peut âgé, la personne la plus jeune qu’elle a déjà vu n’avait que 13ans. En sachant que cette jeune fille avait certains don des hypothèses se formèrent dans l’esprit de Mokou, si elle avait un quelconque lien avec Nagare, cette fille était obligatoirement possesseurs d’un quelconque don, tout comme elle avait hérité du feu de son père, au plus grand malheur de tous. Mais leur malheur avait fait son bonheur, le feu était son plus grand allié et elle l’aimait.
La jeune fille à la tignasse magenta fit alors un drôle de mouvement, comme si elle remettait quelque chose du bout du pied sous…sous la tapisserie qui décoré le sol…Avec un visage toujours aussi neutre Mokou regarda la jeune fille exécuter ces mouvements un peut…bizarre, qui de plus, associer à son air enfantin rendit la scène assez ironique. De plus son sourire bête qu’elle lui adressa n’arrangea pas les choses, c’était comme…une enfant prisonnière dans le corps d’une ado de 16ans. Soit cette fille était vraiment déranger, soit elle le faisait exprès de sorte à toujours paraitre joyeuse et de bonne humeur.
*…mais elle est tarée c’te fille…*
En reprenant son sérieux qu’elle n’avait pas vraiment perdu depuis le début Mokou refixa sa jeune interlocutrice :

-Et toi, pourquoi t’es ici ? T’as un pouvoir précis ?

Des questions encore des questions mais bon qu’es ce que l’on y peut quand on tombe comme sa dans un lieu inconnu.

-Et puis déjà c’est quoi ton prénom parce que j’aime pas trop devoir t’appeler d’une autre façon…

Si la jeune fille avait un lien avec sa mère adoptive le nom le lui dirait immédiatement, mais bon, dans les pensées de Mokou sa conscience lui disait de ne pas trop espéré, ce genre de chose est rare. Mais bon, l’espoir ou la rareté est certes un arbre rare mais la rareté est une graine qui pousse plus souvent qu’un ne le croie.

Je trouvai cette jeune fille bien impertinente, et assez malle élevée. Elle enchaîna 3 "questions" très malles formulées.

- Et toi, pourquoi t’es ici ? T’as un pouvoir précis ? Et puis déjà c’est quoi ton prénom parce que j’aime pas trop devoir t’appeler d’une autre façon…

En gardant mon calme légendaire, je répondis à chacune de ses questions une par une:

- De 1, répondis-je, je suis ici pour la même raison que toi: je ne suis pas humaine. De 2, Oui, j'ai un pouvoir précis, voir 2. Et de 3, je m'appelle Natsui, et je ne vois pas l'intérêt de te donner mon "Nom de famille".

J'ai insisté sur le nom de famille, de façon ironique, afin de lui dire que j'estimai qu'il ne signifiait pas grand chose...

C'est vrai, après tout, à quoi servent les liens du sang, si ce n'est souffrir, hein? Je n'ai pas connu d'autre sentiments que la souffrance par rapport à ce lien, ou bien, ces autres sentiments sont loin derrière moi désormais, et ne reviendront plus jamais.... C'est impossible.

Maintenant que j'étais partie dans la discussion, je n'avais pas d'autre choix que de lui renvoyer ces trois questions par une formule plus que connue et très utilisée:

- Et toi?

Avec un calme plus qu’immense la jeune fille répondit à Mokou avec des phrases plus que simple :

- De 1, je suis ici pour la même raison que toi: je ne suis pas humaine. De 2, Oui, j'ai un pouvoir précis, voir 2. Et de 3, je m'appelle Natsui, et je ne vois pas l'intérêt de te donner mon "Nom de famille".

Alors elle n’est pas humaine ? Pas d’étonnant de toute façon si cet endroit n’accepter que des gens « hors norme », deux pouvoirs ? Alors elle n’était pas la seule à savoir faire deux choses grâce à ses dons. Mokou contrôler certes le feu mais elle savait aussi voler, enfin elle se servait d’ailes de feu pour pouvoir y parvenir, sans ces dernière elle était incapable de décoller du sol. A ce qu’elle avait entendu, jamais cette fille ne lui donnerait son nom, pourquoi donc garder une chose comme cela secrète ? Peut être tout simplement cette chose ne signifier plus rien pour cette jeune fille car ce dernier lui avait toujours apportée malheur et souffrance…
Tout cela parvint bien aux oreilles de Mokou, mais une chose la perturba plus qu’autre chose…son prénom…elle se nommait Natsui. Natsui. Le prénom que sa mère adoptive lui avait juré de donner à sa fille si jamais elle en avait une…Les coïncidence devenait vraiment trop fréquente cette fille devenait vraiment plus étrange qu’elle ne l’était. Autour d’elle planer la pire chose qu’il exister pour chaque personne, le doute. Est-ce que cette fille était la descendante de Nagare ? Elle semblait avoir 16ans et c’était la même durer depuis laquelle l’étoile filante ne passer plus dans le ciel quand Mokou le regarder.
Sa réflexion fut couper par une phrase que la jeune fille aux yeux bleu prononça, enfin pas vraiment une phrase. Deux mots. Deux mots qui peuvent vous arracher plusieurs informations en un coup :

- Et toi?

Justement et elle qui était elle. Pourquoi était-elle ici ? Et bien justement elle ne le savait pas, peut être que sa particularité l’avait envoyé ici qui sais, elle ne pouvait vraiment le dire car la réponse seule le destin la détenait.
Un pouvoir, oui elle en avait un, enfin deux. Elle pouvait voler et elle était la maîtresse du feu. Aucun ne pouvais refuser son influence, elle était la demi-déesse du feu de toute manière, ce dernier lui devait obéissance.
Son prénom ? Mokou. Le reste elle l’avait inventé le jour ou Hirô, se jeune homme qui l’avait secouru quand elle était tombé sur terre, le lui avait demandé. En réalité elle se nommer Mokou tout simplement, mais dans se monde il faut toujours se comporter comme les autre pour être prit pour normal. Watatsuki était le prénom de son père, elle le lui avait prit pour garder une sorte de lien avec lui-même depuis la terre.

-Premièrement j’ignore se que je fais ici, faut dire que je ne suis pas humaine se doit être pour cela que je suis ici. Deuxièmement j’ai tout comme toi deux pouvoir que je ne te dirais pas, je tiens à garder cette information pour moi. Et troisièmement je me nomme Watatsuki no Mokou. Ai-je répondu convenablement à tes questions Nagare heu pardon Natsui !

Mokou aurait voulu se pendre immédiatement si elle l’aurait put, pourquoi l’avoir appelé Nagare !
*P*t**n la boulette pourquoi j’ai dit sa ! Kuso !*
Mokou eu une soudaine envie de se tirer une balle dans la tête, enfin si elle avait eu un révolver c’est ce qu’elle aurait fait. Déjà qu’elle n’avait pas l’air net de chez net, dire le nom de la déesse n’arrangerais rien. La jeune fille aux cheveux magenta allait la trouver bien étrange à l’appeler avec le nom de la déesse des étoiles et de l’astre lunaire. Enfin sa ne changerait pas de d’habitude, tout le monde la trouver étrange en se monde.

-Premièrement, me répondis la jeune fille, j’ignore se que je fais ici, faut dire que je ne suis pas humaine se doit être pour cela que je suis ici. Deuxièmement j’ai tout comme toi deux pouvoir que je ne te dirais pas, je tiens à garder cette information pour moi. Et troisièmement je me nomme Watatsuki no Mokou. Ai-je répondu convenablement à tes questions Nagare heu pardon Natsui !

J'eus un moment de flottement. Elle m'avait appelé Nagare, Nagare, le nom de ma mère déchue. Je me retins au mur à ma gauche pour ne pas m'écrouler. D'où cette Mokou connait-elle Mère? Il fallait que je le sache, je ne pouvais pas rester là sans réagir, j'allais peut être, grâce à cette drôle de personne, en savoir plus sur mon passé et celui de ma mère... Sous un coup de folie, je lui attrapai les bras et les serrai entre mes mains:

-Tu connais Mère?!!! Ces mots s'échappèrent de ma bouche.

Je la lâchai, vacillai légèrement, puis me rappui sur le mur voisin afin de retrouver l'équilibre. J'ai perdu mon calme, c'est plutôt rare, voir jamais vu jusqu'à ce jour...

Mère, je ne vous ai jamais réellement vu autrement qu'en rêve, Je ne me souviens que de votre voix, quand vous me chantiez cette berceuse, en mourant. Cette chanson, je l'ai rechanté toutes les nuits, afin de m'endormir paisiblement, c'était le seul droit qu'il me restait dans mon passé sordide: Le chant. Dans cette cage qui m'enfermait jours et nuits, je chantais, et de temps à autre, ma tante venait avec un chalumeau, un fouet, une matraque, ou tout simplement un bâton.

Cependant, à travers les barreaux de cette mini-prison, je me revoie en fermant les yeux un visage, un visage d'enfant... une petit garçon aux yeux émeraude. Je me souviens, il venait, tous les jours, à la même heure, et il me faisait manger et boire. Ce n'était pas grand chose, de l'eau et un peu de pain, mais ça me suffisait, je ne demandais pas plus. Je ne sais pas ce qu'il est devenu aujourd'hui, et je serai bien incapable de le reconnaitre si je le voyais, je pense, car dans la pénombre de ce sous-sol où je me trouvais, mes yeux ne percevais que le vert de son regard qui jaillissait de l'obscurité ... Mais je m'égare.

Mère, il m'arrive parfois d'avoir l'impression de ressentir votre présence près de moi, mais je pense que ce n'est qu'un mirage que mon esprit s'invente pour me rassurer dans les moments les plus durs.

Je veux que ce mirage devienne réalité! Je crois que c'est... Mon souhait le plus cher, vous retrouver, Maman...

Le trouble. Il nous hante toujours quand un événement auquel on ne croyait plus ou qu’on imaginer plus se présente. Et Natsui qui était en face d’elle l’avait ressentie. Un trouble, un si grand qu’elle du se retenir au mur pour ne pas s’effondré parterre. Elle sembla perdu dans un monde que seule elle pouvait y accéder, un monde fait de nos réflexion, de nos pensées. Se sentent à l’origine de se trouble chez la jeune fille aux cheveux magenta, Mokou s’avança vers elle pour lui proposer une aide, chose qui la surpris elle-même, mais son geste fut couper par la réaction rapide de la jeune fille qui lui prit les bras dans ses mains et qui lâcha une phrase qui allait tout changer :

-Tu connais Mère?!!!

Après avoir rapidement prononcé ces mots elle reperdit l’équilibre et se rattrapa contre le mur, le simple fait de prononcer le prénom Nagare avait eu chez elle une réaction qui avait beaucoup étonné Mokou, mais la réponse de Natsui la perturba aussi. Mère. Elle avait dit Mère pour parler de la belle Déesse.

-Nagare ! Ta mère !

Le sol sembla s’écrouler autour de Mokou, comme si on l’aspirer au fond d’un trou comme si tout se qu’elle avait espéré, que cette jeune fille soit la fille de Nagare, était devenu la pire épouvante du monde.
Se raccrochant à un des meubles et sont vase Mokou sembla partir loin, loin dans ses pensées. Elle en ressortie rapidement pour éviter de se perdre trop profondément dans les méandres de sont esprit un peut trop tordu. Dans un léger murmure la jeune fille de rouge prononça alors des phrases qu’elle avait déjà prononcées, des phrases qu’une personne avait retenue :

-« Promettez moi une chose, si vous avez une fille appeler la Natsui pour vous souvenir de moi »…Alors vous l’avez fait mère, vous l’avez appelé Natsui…

Les larmes. Oh quand on les voie on fait souvent le calcul, larmes = tristesse. Mais les gens ignorent que les plus belles sont celle de joie, car oui on peut pleurer quand on est heureux. Et c’est ce que faisait Mokou. Des larmes de joie coulée le long de ses joues, sa mère adoptive c’était souvenue d’une promesse qu’elle lui avait faite il y avait plus de 500ans. Natsui en était la preuve même. Pourquoi avoir douté de Nagare au sujet de cette promesse, elle avait tenu à elle et Natsui qui était face à elle était la preuve de l’amour que la Déesse des étoiles avait porté à la demi-déesse de feu.
Essuyant la source des larmes qui couler le long de ses joues, Mokou fit alors une chose qu’elle n’avait pas faite depuis longtemps. Un sourire. Puis elle s’adressa à Natsui :

-Oui je connais ta mère et très bien même car voie tu, nous l’appelons toute deux de la même façon. Je n’ai pas de liens du sang avec elle mais elle ma élever et sa me suffi pour la nommer Mère.

Mokou se détacha alors du meuble sur lequel elle s’était appuyer pour évider de sombrer dans ce trou qu’elle avait sentie au moment ou elle avait su que la jeune fille face à elle était bien LA Natsui qu’elle pensée. La jeune fille de feu marcha alors vers la tapisserie qui orner le sol et y ramassa quelque chose de rose avant de se déplacer vers Natsui et de lui tendre un ours rose qu’elle avait lâcher :

-C’est à toi cela non, Natsui Boshi…

-Nagare ! Ta mère !

Sa réaction fut telle que j'eus tout de suite deviné qu'elle connaissait ma mère déchue. Elle continua en s'adressant à cette dernière.

-« Promettez moi une chose, si vous avez une fille appeler la Natsui pour vous souvenir de moi »…Alors vous l’avez fait mère, vous l’avez appelé Natsui…

Une promesse? Quelles étaient ses relations avec ma mère? Serait-ce cette dernière qui m'a poussée vers Mokou? Tant de questions se bousculaient dans ma tête, et celle qui pourra peut être y répondre se dressait devant moi... Logiquement, cette Mokou est également une déesse, voir demi-déesse, comme moi!!! Je ne sais pas, le seul moyen de le savoir, c'est de lui demander. Au moment où je m'apprêtais à reprendre le flambeau de la discussion, elle reprit:

-Oui je connais ta mère et très bien même car voie tu, nous l’appelons toute deux de la même façon. Je n’ai pas de liens du sang avec elle mais elle ma élever et sa me suffi pour la nommer Mère.

Je restais sous le choc, si je comprenais bien, C'était en quelque sorte.... ma sœur? J'aurai des liens de parentés inconnus du côté de ma mère?! Elle pleurait de joie, et moi aussi je me mis à pleurer, mais pas que de joie. Également d'angoisse. Une sœur? Une nouvelle famille? Ce mot me faisait atrocement souffrir. Pour moi, il ne signifie rien d'autre que la souffrance, ce qui fit que j'avais quelque peu peur de cette fille plus âgée que moi, je n'en pleurai que d'avantage. Elle se baissa pour ramasser Teddy que j'avais lâcher sous la surprise.

-C’est à toi cela non, me dit-elle en me le tendant, Natsui Boshi…

Je le repris, en tremblant.

- Boshi?... dis-je alors, C'est exact, c'est mon nom, officiellement. Ne m'appelle pas ainsi s'il te plaît, je n'aime pas ça, en fait, je n'aime pas la famille... C'est compliqué, vois-tu? Quand ce qui est censé être ta famille t'abandonne et te lynche, tu ne l'aimes pas forcément...

Je la regardais, je me disais que c'était pour moi ma nouvelle famille, quelque part en moi c'était une porte au par avant scellée qui se rouvrait pour me faire ouvrir les yeux vers un monde plus beau, mais je ne trouvais pas la force de m'avancer vers ce passage qui s'offrait à moi... Pourtant, c'était certainement le mieux à faire pour moi, mais je n'en avait pas le courage. Je finis après quelques instant à plonger ma tête dans les bras de Mokou en explosant en sanglot, pour lui dire que j'avais besoin d'elle pour avancer dans ce monde, Sinon, je n'arriverai à rien dans ma vie qui ne s'arrêtera très certainement jamais...

- Boshi?... C'est exact, c'est mon nom, officiellement. Ne m'appelle pas ainsi s'il te plaît, je n'aime pas ça, en fait, je n'aime pas la famille... C'est compliqué, vois-tu? Quand ce qui est censé être ta famille t'abandonne et te lynche, tu ne l'aimes pas forcément...

Just après avoir prononcé cette phrase Natsui se jeta pratiquement dans les bras de Mokou et se mit à pleuré, mais pas des larmes semblable à celle de la jeune fille de rouge. Non celle-ci était pire, les plus horribles larmes du monde qui ne devrait en aucun cas couler sur les joue d’une enfant ou d’une jeune fille comme Natsui : celles de tristesses.
La famille c’est une chose importante, alors pourquoi au grand pourquoi sa famille l’avait traité comme sa ?! Nagare étant sa mère, c’est de son coter paternel que réside ces êtres abominables.
*Des humains, ces êtres sont le pire fléau qu’il existe…*
Abandonner, torturé voir parfois laisser pour morte, comment des gens pouvais ils être aussi infâme envers une personne aussi gentille et agréable que Natsui ?
On dit souvent que les réponses résident dans notre passé, et en y repensent bien oui la réponse s’y trouve. Elle aussi des gens avait tenté de la lapider, de la tuer, et pas forcement des inconnues. Des gens qu’elle avait longtemps considéré comme une famille l’avait odieusement vendu quand elle était rechercher en tant que « grande criminelle ayant mit le feu à un monument sacré des Dieux ». Si bien qu’elle avait fini sur le bûcher. Enfin c’était rien le bûcher, mais se faire vendre par des gens devenu sa famille sa fait toujours mal au plus profond de sois.
Les sanglots de Natsui la mirent mal à l’aise, que faire ? Elle n’avait jamais eu de frère et sœur et encore moins de personne à consoler. Mokou resserra alors ses bras autour de Natsui et se mit à doucement caresser les longs cheveux de sa « petite sœur » dans un geste affectif. Avec une voix emplie de douceur elle lui murmura à l’oreille :

-Là ne pleure plus Natsui, ne pleure plus…Ces maudits humains ne sont plus prêt de toi maintenant, plus jamais ils pourront te faire du mal, et si jamais ils te retrouvent je ne serais jamais loin pour te protéger. Ne t’inquiète pas ça va aller maintenant, je serais toujours là pour toi…ma petite princesse…

Des mots. Oui que des mots mais qui sont alimentés par la plus belle chose qu’il existe, car ces mots la vienne du cœur. Mokou n’avait jamais eu de frère et sœur mais aujourd’hui elle avait une demi-sœur et si jamais quelqu’un oser la toucher dorénavant, il aurait à faire à elle. La famille c’est une chose sacrée, c’est ignoble humains ne l’avait pas comprit et ils avaient laissé cette perle rare s’abimer dans un monde de souffrance et de douleur. Mais cette perle ils ignoré qu’en la laissent sortir, en la laissent vivre, en la laissent découvrir la joie et les autres bonheurs de la vie et bien cette perle comblerait tout leur manque. Car qu’importe le bonheur de l’argent ou autre dans des familles quand le soir rentrent on a une perle souriante qui se jette à votre cou et vous embrasse les joues avec sa bonne humeur qui ferait fondre la neige un jour de grand froid. Ces idiots l’avait laissé comme sa sans rien, et pour Mokou son rôle était de la refaire briller, de lui rendre un vrai sourire et non cette illusion qu’elle laisser paraitre aux autres. Et pour cela il suffirait qu’elle franchisse le pas de la porte, laissant son malheur derrière elle et qu’elle vive, oui qu’elle vive dans un nouveau monde.
Mokou garda Natsui dans ses bras, prient pour que sa petite princesse aille mieux et que ses sanglots disparaissent.Elles n’avaient pas de liens de sang mais qu’importe, ces humains en avait un avec elle et ils l’avaient pratiquement assassiné, ces liens ne sont souvent rien du tout, non les liens du sang importes peu car les liens les plus fort son souvent ceux du cœur.

Je m'étais jetée dans ses bras en sanglots. Elle resta quelques instants inerte, surprise de ma réaction. Moi-même, je ne comprenais pas mon geste, moi qui suis pourtant méfiante de tout ce qui m'entoure, là, je voulais rester avec cette fille, ne plus bouger, pour qu'elle me protège...Je pense que nous laissions paraître un joli tableau à contempler, car elle m'enlaça de ses bras et me murmura dans le creux de l'oreille:

-Là ne pleure plus Natsui, ne pleure plus…Ces maudits humains ne sont plus prêt de toi maintenant, plus jamais ils pourront te faire du mal, et si jamais ils te retrouvent je ne serais jamais loin pour te protéger. Ne t’inquiète pas ça va aller maintenant, je serais toujours là pour toi…ma petite princesse…

Je crois que j'ai rougis, pourquoi? Surement parce que ce surnom, princesse, seul mon père m'appelait ainsi... Ces paroles m'ont réchauffées le coeur qui se mit à battre plus intensément. Je me dis à cet instant que désormais, je resterai 24h/24h avec cette Mokou, et je lui dis:

-....Je vais t'offrir ce que je n'avais jamais dévoilé à personne..... Je t'offre, ma confiance, Mokou-san... S'il te plaît, peux-tu... Rester avec moi? Je crois que j'ai besoin de toi... Et que c'est ce que Maman voudrait, que nous restions ensemble...

J'eu du mal à prononcer ces mots, mais je les ai dit, et j'en était fière. Dans ma tête, je dis une phrase adressée à ma mère: "Mère, si c'est bien ce que je pense, et que c'est vous qui m'avez mené à Mokou, alors je ferais ce que vous désirez, et je resterai avec elle, pour toujours..."

C'est à cet instant de ma vie que je me suis sentie le plus en sécurité. Mes peines et mes blessures, morales et physiques, semblaient se régénérer. Je ne sentais plus ni douleur, ni amertume. Le monde était d'un seul coup plus beau, et bizarrement... J'aimais ça.

Tableau plus que charment qui se peint dans le hall de cet établissement. Quoi de plus beau quand deux membres d’une même famille se retrouve et s’entraide ? Enfin si on peut appeler ça deux membres d’une même famille. De liens elles n’en avaient qu’un seul, celui du cœur. Deux « sœurs » qui se voie pour la première fois et qui semble se retrouver, la cadette en larmes dans les bras de l’ainé qui la réconforte.
Natsui la cadette, et Mokou l’ainé. Ainé qui ne savait pas qu’elle était capable d’autant de tendresse envers quelqu’un, elle qui avait toujours état doué pour étriper, tuer, blesser et qui n’avait aucun dons pour tout ce qui fait partie du domaine de la douceur et de la gentillesse, elle c’était découvert des capacités enfouie en elle depuis des centaines d’années. Mais bon qu’importe une capacité quand on est bien avec quelqu’un. Elle qui avait toujours rêvé d’un frère ou d’une sœur, elle profité enfin de ce moment tant rêver, bien qu’elle aurait aimé dans d’autres conditions. Ce moment aurait était mieux ci elles ne s’étaient pas trouver dans le hall d’une bâtisse plus que louche, et que la cadette ne pleurait pas par la faute de son passé plus qu’effroyable. Mais bon la vie est ainsi faite.
Natsui se calma un peut et parla alors d’une voix encor emplie de ce désagréable sentiment appeler le chagrin :

-....Je vais t'offrir ce que je n'avais jamais dévoilé à personne..... Je t'offre, ma confiance, Mokou-san... S'il te plaît, peux-tu... Rester avec moi? Je crois que j'ai besoin de toi... Et que c'est ce que Maman voudrait, que nous restions ensemble...

Rester avec elle ? Qu’elle question, bien sur ! Depuis le moment ou elle avait dit être la fille de Nagare, Natsui était devenu sa sœur et pour rien au monde elle ne laisserait sa cadette seule dans se monde parfois bien trop hostile. Quoi qu’en y réfléchissant bien, Mokou se rendit compte qu’elle était elle-même une de ces menaces, peut être une des pires qui puisse arriver à Natsui. Quoi de plus dangereux qu’un feu qui se déclare souvent tout seul ? Elle était certes la maîtresse des flammes mais elle faisait souvent brûler des choses accidentellement, comme se jour ou elle avait mit le feu à l’école que tenait Keine. Just en jettent un papier se dernier avait prit feu et la moitié du bâtiment avait disparu dans les flammes, par chance cet incident avait eu lieu le soir de la pleine lune et quand cette dernière était venu la jeune hakutaku avait put réécrire l’histoire et avait ainsi sauvé la bâtisse et le reste du village qui aurait certainement brûlé sans son intervention. Ou encor la fois ou elle avait fait bruler la « cuisine » de Hirô rien qu’en s’énervant contre les villageois qui l’avait encor traité de démon, sa colère avait agrandit les flammes qui bruler dans l’âtre et le feu avait commencé à ravager l’intérieur.
Mais bon tout ça ce produisait quand elle s’énerver ou quand un de ses sentiment était trop grand. Dans ces deux cas les coupables étaient la tristesse et la colère. Mais bon ce n’était rien tout compte fait, elle n’était pas un danger.

-Si tu veux absolument que je reste prêt de toi alors soit, je resterais Natsui. Pour toi, et pour notre mère…restons ensemble…

En ajoutent ses mots Mokou la resserra légèrement dans ses bras comme si elle allait glisser et se perdre à jamais dans se monde qui lui avait voulut du mal pendant toutes ses années.
C’est alors que pour la première fois Mokou sentie qu’elle avait…peur…tellement peur pour Natsui. Et si jamais ces gens la retrouvaient, qu’ils la capturaient, qu’ils la torturaient de nouveau. Une sensation de vide la prit alors, comme si tout autour d’elle ne tenait plus et qu’elle allait tomber dans un trou sans fin, comme quand on vole et qu’on chute d’un coup. Ses yeux se perdirent dans le vide et Mokou se mit à imaginer le pire. Si jamais cela arrivait, jamais elle ne se pardonnerait d’avoir laissé Natsui se faire attraper. Si jamais elle venait à mourir sous les coups de ces êtres abominables…
La sensation de chute que Mokou éprouva s’accentua tellement en pensant à ça que ses ailes sortirent sans qu’elle ne le demande. Une grande chaleur se dégagea alors rapidement dans se hall pourtant grand. C’est en se rendant compte de la hausse inhabituelle de température qui venait de s’effectuer que Mokou se rendit compte de leur soudaine apparition. Sachant que seul elle arriver à supporter la température élever de ces dernières, elle lâcha subitement Natsui et recula en un bond qu’elle fit assez rapidement grâce à la présence de ses ailes.
*Mais qu’est ce qu’elles font ici celle-là, je les ai pourtant pas réclamé !*
Aussi rapidement qu’elles étaient venu, les grandes ailes de feu disparurent en rentrent dans le dos de Mokou, laissant comme seule marque de leur venu un trou aux bords brûler dans le haut de la chemise de leur propriétaire au niveau de ses omoplates.
Avec une voix aussi inquiète qu’elle l’était elle demanda rapidement à Natsui :

-Sa va tu n’as rien Natsui !?

Son feu ayant une température assez élevée elle avait très bien put lui causer des brûlures même avec une exposition aussi petite, la simple idée d’avoir put la blesser la fit paniquer. Tout compte fait, oui, elle était bien un danger…

» Natsui Boshi
» Chambre 101 - L'arrivée de Natsui dans la chambre 101 ?
» Je suis perdue....