Une nouvelle vie, un nouveau départ...

Tout autour d'elle était noir, sauf elle. Il n'y avait personne. Il n'y avait aucun bruit. Tout était étrangement calme...
Soudain, elle sentit une main se poser sur son épaule.

"Charlotte... Tout est de ta faute."

La jeune fille se retourna et vit sa mère. Elle n'arrivait pas à voir ses yeux, mais elle était sûr qu'elle pleurait. Du sang sortait de la blessure mortelle que lui avait causé sa fille.

"C'est de ta faute... si nous nous sommes ruinés..."

Charlotte retira sa main et courut loin d'elle, loin de ses accusations qu'elle refusait de croire. Elle ne devait surtout pas se laisser influencer par ses paroles. Mais curieuseument, elle vit qu'elle courait vers sa mère, allors qu'elle allait dans le sens inverse.

"C'est de ta faute... si Will s'est lancé dans cette histoire d'héritage..."

Charlie fit demi-tour en mit le plus de distances possibles entre elle et sa mère. Mais à nouveau, elle se trouva devant elle sans avoir à bouger.

"C'est de ta faute... si Will est mort..."

Désespérée, elle tenta de partir vers la droite, puis la gauche, mais le résultat était toujours le même. Elle était bloquée ici, et obligée d'écouter sa mère jusqu'au bout.

"C'est de ta faute... Si je suis morte !"

Charlotte se pris la tête entre les mains, essayant de ne pas entendre les propos de sa mère. Mais quoi qu'elle fasse, ces cinq mots résonnait dans sa tête inlassablement : "C'est de ta faute"

"C'est de ta faute ! C'est de ta faute ! C'est de ta faute ! C'est de ta faute !"

"NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !"

Charlie se redressa vivement, faisant tomber Ash par terre, ce qui ne semblait pas le ravir...

*Charlotte ? Ca va ?*

La jeune fille repris sa resiration. Ce n'était qu'un cauchemard... Elle ne devait pas se laisser effrayer par son inconscient.

"Je t'ai déjà demandé de m'appeller Charlie, répondit-elle, de mauvaise humeur."

Elle tenta de se relever mais elle dut réprimer un cri de douleur. Son bras droit la faisait affreusement souffrir. Lorsqu'elle le regarda, elle vit que la blessure laissé par le poignard de sa mère venait de se réouvrir.

*C'est malin, maintenant tu saignes ! Tu pourrais pas faire attention des fois ?*

Ignorant le matou, elle se leva en tenant sa blessure pour éviter qu'elle ne saigne trop. Elle regarda autour d'elle et demanda au chat :

"Où... Où sommes nous ?"

*Sur une île. Répondit Ash, sarcaristique*

"Ca je l'avais compris ! S'emporta Charlotte. Mais sur quelle île, précisément ?"

*Sur Chiyo, l'île du ciel qui recueuille les gens anormaux comme toi et d'où il est impossible de s'enfuir, répondit-il.*

"Je suis pas anormale ! Protesta-t-elle"

*Ah oui ? Tu trouves que te balader avec un chat qui peut écraser la Tour Effeil s'il le voulait et parler avec lui, en plus d'avoir un signe bizarre sur la main gauche font de toi une personne normale ? Riposta-t-il*

Elle ne répondit pas tout de suite. A quoi bon ? Ash avait raison, de toute façon. Elle ferait mieux de s'inquéter du fait qu'elle pourrait peut-être mourrir dans les prochaines minutes si elle ne s'occupait pas de son épaule.

*Où vas-tu ?*

"Y'a bien des gens sur cette île ? Qui dit gens, dit soins. Je vais chercher quelqu'un pour me soigner."

*Si tu veux...*

Sur ce, Ash se percha sur son épaule (droite, il est pas débile non plus), pendant que Charlie grimpait péniblement les marches qui la séparait de l'internat. Après une monté plus que fatiguante, ils arrivèrent devant une grande porte. La jeune fille consulta le chat du regard, et comme elle ne voyait aucune objection, elle poussa la grande porte de sa main valide.

« Stephen… Stephen… Où es-tu ? »
J’ouvre les yeux péniblement. Je n’arrive pas distinguer quoi que se soit tellement ma vue est floutée. Un bruit sourd et régulier se fait entendre derrière moi. Mes paupières sont lourdes et ma tête me fait très mal. Instinctivement je porte mes doigts sur mes tempes et les masse légèrement. Ma vue reste toujours troublée mais les sons semblent se distinguer… Des vagues !! Oui c’est bien ça ! Je viens de réaliser que je me trouve sur du sable humide. Je suis donc sur une plage. J’ai l’impression que mon esprit à du mal à se connecter à la réalité. Je ne me souviens de rien qui peut m’indiquer pourquoi je me retrouve sur une plage alors que quelques minutes plus tôt je me trouvais à New York sur le chemin du retour moi et prête à revoir mon homme. Je me relève douloureusement et essaie de remettre mes idées en place, de retrouver la mémoire. Je me frotte le visage, espérant qu’un souvenir resurgisse. Mais rien, le vide totale. Le soleil tape très fort, ma vision n’est toujours pas revenue à la normal et en plus je suis ébloui. Je fais une tour sur moi-même pour situer l’endroit ou je me trouve lorsque soudain un flash blanc m’aveugle. Je vois ensuite une voiture, puis encore le flash qui me brule la rétine. Un son strident lui déchira le tympan. Il ressemblait à celui d’un klaxon. Et d’un coup, tous revient normal, je me suis retrouver accroupie sur le sable toute tremblante. Je me souviens de ce qui s’est passé après que je sois sortie de ma fac... J’ai tout simplement traversé sans regarder. Une voiture m’a fauchée et je me suis retrouve ici. Mais le truc que je ne comprends pas c’est comment je peux être ici alors que normalement je suis sur la chaussé de NY ? Ça reste un mystère auquel je ne peux répondre. Je me suis donc relevée et j’ai marché un peu. Après avoir été rassuré de me souvenir de quelque chose voila que la panique me prend. Mais bordel, je suis ou ? Je ne reconnais rien ! Et Stephen ? Oh mon dieu ! Affolée et angoissée je me suis mise à crier de toutes mes forces :
« - STEPHEN ! STEEPHEEEN !! »
Bordel. Je suis perdu ! Je me suis mise à courir dans n’importe quelle direction. J’espère trouver une personne, quelqu’un qui pourrai m’aider, m’indiquer qu’est-ce qui se passe ici, ou suis-je et comment retourner à NY le plus vite possible, Stephen doit-être mort d’inquiétude !
Lorsque je fus calmée et moins troublée parce ce qui m’arrive, je m’assis sur le sable devant la mer. J’ai d’abord commencé à vérifier si tous mes pouvoir fonctionnaient. Je me suis amusée à crée des vagues dans le sens inverse pour qu’elle se cogne les une contre les autre. Puis j’ai fait pleuvoir quelque goute de pluie. Tous allait bien de ce côté. J’étais en train de réfléchir à une explication logique à cette histoire lorsque j’entendis un cris. Un cri d’une jeune fille.
-"NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !"
Je me lève hâtivement et cours en direction du cri. Cinq minutes plus tard me voici devant une grande porte. Je ne l’avais pas vue tout à l’heure ! A croire que cet endroit est magique… Je gravi les marches et pousse la porte avant de me retrouver dans un somptueux hall d’entrée. Il était très lumineux et spacieux avec de haut plafond. La décoration qui ornait les murs et la pièce était rutilante. J’avance de quelques pas, suspicieuse. Lorsque je remarque qu’il y a quelqu’un au fond de la pièce. La jeune fille de toute à l’heure ? Elle semblait avoir 14-15 ans je dirais. Elle avait un joli visage et habillée avec gout. Sur son épaule gauche était logé un adorable petit chat noir. Je l’a scrutai comme pour me rassuré. C’est alors que je remarque du sang dégouliner de sa manche droite. Et si je lui proposais mes soins ? Après tout, comme sa, je pourrais engager la discussion plus facilement et s’avoir où je me trouve ! Mais comment lui dire, sans qu’elle prenne peur, que je vais la soigner avec de la magie ? Je m’approche doucement et engage la conversation :
« - Hey ! Bonjour ! Je m’appelle Alison Cawlwes ! Excusez moi de vous déranger mais vous êtes blaissée... Si vous le désirez, je peux vous soignez. Mais d’abord je voudrai vous posez une question. Où sommes-nous ? »

Dommage je suis devancée, voyez-vous un inconvénient si je squatte après réponse d'Alisson *wwwwww* Après tout, Charlie reste ma deishi chaan *0*

Edit Alison: Deishi chan = Disciple [avec le suffixe cxhan] jappelle la meudame qui joue charlie ainsi, normal, c ma chériiie a moi <3

Haaaaa non vas y Rp, je vais Rp avec ma Lyo pour son entrée à elle, je rperai avec Charile plus tard, et puis tu etais la premiere =3333

et jecris à l'arrache désolée je sujis trop male installée sur un lit x,333

Charlotte observa le hall avec intérêt tout en avançant vers le grand escalier. Tout ce faste, ce lustre de cristal, ces mrches en marbres... Cette pièce était la copie exacte de l'entrée de l'hotêl parisien dans lequel elle avait séjourné avec ses parents pendants les travaux d'aménagement de sa maison. Sa main se posa sur la rembarde de pierre. Paris... et la France... Si seulement elle pouvait y retourner...
Elle fut tirée de ses pensées nostalgiques lorsqu'une fille un peu plus agée qu'elle lui adressa la parole.

« - Hey ! Bonjour ! Je m’appelle Alison Cawlwes ! Excusez moi de vous déranger mais vous êtes blessée... Si vous le désirez, je peux vous soignez. Mais d’abord je voudrais vous posez une question. Où sommes-nous ? »

Elle se retourna vers elle et la dévisagea. Elle avait un style vestimentaire assez simple, des yeux bleus avec des reflets verts et de curieux cheveux roses. Méfiante, elle questionna son chat du regard :

"Est-ce que je peux lui faire confiance ?"
*Cette fille est visiblement une élémentariste, mais rien n'indique qu'elle ment. Je pense que tu peux la laisser faire.* Répondit le chat par télékinésie, ne voulant pas parler devant un auditoire aussi conséquent.

Elle se retourna à nouveau vers la nouvelle venue et lui adressa alors un maigre sourire.

"Heu... Je crois qu'il faudrait mieux que j'accepte si je ne veux pas tomber dans les pommes."

Puis elle retira son bras de la manche de sa robe, pour dégager la grande balafre ensanglanté que lui avait laissé sa mère comme cadeau d'adieu, en réprimant difficilement une grimace de douleur.

"Ici, nous sommes à Chiyo... Une île sur laquelle s'échoue visiblement tous les rebuts de l'humanité doués de pouvoirs anormaux qui puissent exister sur Terre. Par contre, j'ignore à quoi sert ce bâtiment."

En lui répondant ainsi, elle savait que son interlocutrice allait l'interroger sur ses pouvoirs, mais elle s'en fichait pas mal. Toute façon, elle ne tarderait pas à le savoir...

Elle me dévisagea, méfiante. Le chat sur son épaule balançait sa queue d’un côté puis de l’autre d’un aire stoïque. Puis la jeune fille m’adressa un sourire qui disparue aussitôt avant de laisser échapper :
-"Heu... Je crois qu'il faudrait mieux que j'accepte si je ne veux pas tomber dans les pommes."
Je lui sourit à mon tour pour lui montrer qu’elle pouvait me faire confiance. Elle souleva délicatement sa manche pour laisser paraître une plaie profonde toute ensanglantée. Entre deux grimaces de douleurs elle me dis d’un ton solennelle :
-"Ici, nous sommes à Chiyo... Une île sur laquelle s'échoue visiblement tous les rebuts de l'humanité doués de pouvoirs anormaux qui puissent exister sur Terre. Par contre, j'ignore à quoi sert ce bâtiment."
Sa réponse me surpris : « tous les rebuts de l'humanité doués de pouvoirs anormaux » Je n’étais donc pas seule ? Et dois-je en conclure que la jeune fille qui se trouve devant moi… Possède elle aussi des pouvoirs ?
Je restais la, choquée puis je pris la parole, d’une voix vacillante :
« Tu, tu as donc toi aussi, des… Pouvoirs ? »
Si sa réponse étais positive, cela me permettrais de la soigner sans lui faire peur, c’est déjà ça. Mais qu’entend elle par s’échouer sur cette île, enfin, c’est impossible ! Il y a à peine une heure j’étais encore à New-york !

"Tu, tu as donc toi aussi, des… Pouvoirs ?"

*Nous y voilà*, pensa-t-elle. En guise de réponse, elle se contenta de retirer son gant et de lui montrer sa main gauche. Un curieux signe rouge sang en ornait le dos. La marque du pacte passé avec Ash, qui fit briller ses yeux d'une lueur inquiétante.
Soudain, Charlie se sentit vaciller. Elle se rattrappa de justesse à la rambarde avant de tomber. Sa vison se brouillait, elle avait du mal à se tenir debout... De toute évidence, elle avait pedu peu beaucoup trop de sang, à en juger la couleur pourpre qu'avait prit la marche sur laquelle elle se tenait.

*Charlie ? Charlie ? Ca va ?*

"Est-ce que j'ai l'air d'aller ?" répliqua-t-elle violament au pauvre matou qui n'avait rien demandé, d'ailleurs.

Sur le moment, elle oublia que la dénommée Alison était toujours là, et qu'elle risquait de la prendre pour une folle si elle parlait seule. Compréhensif, le chat aux yeux dorés ne répondit rien, et se contenta de fixer la fille aux cheveux roses comme pour lui dire de se bouger un peu au lieu de laisser sa maîtresse mourir sous ses yeux. La-dite Charlotte commençait à chanceler sérieuseument. Tout à coup, elle ne vit plus rien, et se sentit tomber. La dernière chose dont elle se souvenait était les appelsenaux de son chat...

Suite à ma question, le jeune adolescente ne répondit pas. Elle se contenta de se déganter la main gauche et de me montrer un signe étrange sur l’intérieure de sa main. Il était comme gravé dans sa chaire.
Alors là j’étais vraiment paumée. J’attendais juste une réponse moi ! Pas encore un autre mystère ! Mais je n’eu pas le temps de réfléchir une seconde de plus que la jeune fille eu un malaise. Surement dut à sa grosse perte de sang. Avec toute ses révélations j’en avais totalement oublier sa blessure !! Qu’elle idiote ! Lorsque soudain elle lança violement des paroles, non pas à moi, mais soit à elle-même soit à … Son chat.
-"Est-ce que j'ai l'air d'aller ?"
Puis elle me regarda comme si elle venait de se souvenir que j’étais là. Je ne comprenais rien, mais la n’est pas la question. Il fallait absolument que je m’occupe de cette gosse. Sinon elle risquait de… Mourir.
Son chat me regardait, d’un regard perçant. Il me fait peur ce chat. Et puis d’un coup, sans que je ne voie venir quoi que se soit, la blessée tombât par manque de force. J’eu juste le temps de la rattraper pour lui éviter une chute qui lui aurait été fatal. Je la dépose délicatement sur le sol. Le chat tournoyait autour de nous comme pour me faire paniquée. Mais je restais maître de la situation. Il fallait que je trouve un… Récipient… Je cherchais furtivement des yeux un vase ou une coupelle. Et puis à quelques mètres se trouvait une belle coupelle bleutée. Je la saisis puis courue ouvrir la porte qui était juste à côté. Je pose ensuite la coupelle sur les marche et cours ensuite vers ma protégée. Je vérifie son poule puis la porte jusqu'à dehors et l’allonge sous l’auvent de la demeure afin d’éviter qu’elle soit trempée. Puis je me concentre. Rassemble tout, toute mon envie de sauvé cette petite et puis fais pleuvoir. Les gouttes de pluies de mirent pas longtemps à remplir la coupelle. Puis je fis cesser cette averse torrentielle et me concentra à nouveau. L’eau ressemblée dans le récipient s’éleva dans les airs et s’enroula autour da l’épaule de l’adolescente. En quelques minutes, la plaie fut refermée, désinfectée et le sang nettoyé pour laisser place à une cicatrice.

J’attendais. Paisiblement, surveillant chacun de ses gestes, prenant souvent son poule. Le chat s’était couchée à côté de sa maitresse (après que je l’ai poussé car il s’était tranquillement allongé SUR elle). Les vague roulaient et se brisaient sur la plage. Le vent nous apportait les embruns et l’odeur de l’iode. Normalement elle se réveillera bientôt. Et j’attendais.

» Un monde nouveau