► こんにちは, Naoko entre danser sur scène.

            Durant la période où elle était démunie de ses parents et lors de ses débuts à l’Okiya, celle-ci était très silencieuse et réservée sur elle-même. C’est seulement lors de sa rencontre avec sa « oneesan » que Naoko remarqua son erreur, se mettre à l’écart n’était certainement pas une bonne idée… elle fut plus amicale et joyeuse après la cérémonie d’union. C’est-là que son véritable caractère s’est forgé et ça grâce à son amie proche. Lors de ses études, celle-ci était très studieuse et très aimée des autres filles de son âge mais Naoko n’avait qu’un but qui était de devenir une véritable geiko, ce qu’elle réussit sans le moindre problème. Le mot geisha peut s’interpréter comme « personne d’art » ou « femme qui excelle dans le métier de l’art » dont deux idéogrammes 芸 gei qui signifie « art » et 者 sha qui signifie « personne » ou « pratiquant »… Mademoiselle Kawamata s’emporte violemment lorsqu’il s’agit de comparer ce mot avec celui de prostituée… qui est le malheureux qui osera ? De nature calme et sereine, elle ne s’énerve que seulement pour cela et possède une grande patience ce qui l’a notamment aidée durant ses études et celles de sa petite sœur. Toujours sérieuse derrière son masque blanc de maquillage, rien ne l’empêche pourtant d’afficher un doux sourire ou un rire quand la bonne humeur est présente avec son entourage. Mélancolique dû à la perte de sa petite sœur, de sa grande sœur et de son Okiya, elle songe souvent à sa ville de Kyoto et de son douloureux passé... sa beauté cache bon nombre de secrets d'ailleurs ce qui fait partie de son charme est le fait que la jeune femme vêtue d’un kimono soit mystérieuse. C’est à vous de les découvrir.

            Cette jeune femme est sculptée d’une manière notamment gracieuse ce qui lui permit de continuer dans l’art de la dance, il n’y a que les plus belles qui peuvent continuer dans cette branche de talent. Sa taille est inconnue mais avec quelques réflexions elle est grande pour son âge et comparée à d’autres Japonaises ce qui fait qu’il n’est pas nécessaire de replier le tissu du kimono sous l’obi. Son corps est selve aux formes très légèrement généreuses mais celles-ci ne sont pas du tout mises en valeur, elles sont, au contraire, cachées par ses vêtements traditionnels. Sa peau est douce au toucher et possède la couleur de la neige avec du rajout de maquillage, celle-ci est resplendissante sous les rayons clairs de la lune, telle une déesse. Alors commençons dans les détails de cette beauté asiatique, son visage est ovale et toujours enduit de blanc par-dessus une couche d’huile, ce mélange est étalé à l’aide d’une brosse de bambou dont l’excédant est tamponné avec une éponge, tout ceci est principalement à base de riz. Sa nuque est, elle aussi, colorée de cette manière mais laissant apparaître une partie de la peau de celle-ci. Son joli minois est orné de deux yeux brunâtres et bridés montrant ses origines, ceux-ci sont maquillés de rose et de rouge comme ses joues et ses minces lèvres. Ses petits sourcils et le contour de ce qui lui permet de voir sont tracés avec un bâtonnet de charbon ou bien alors avec du khôl, une poudre minérale composée de plomb. Normalement, le maquillage est une opération compliquée ce qui fait que les geishas doivent être aidée mais Naoko à trouver elle-même un moyen pour le faire seule car elle en fut obligée dans son apprentissage, son âge lui permet d’en porter beaucoup contrairement à celles ayant trente-ans. Elle a aussi un nez droit mais il ne gâche aucunement sa tête agréable à fixer. Passons à sa chevelure soyeuse et soignée, comme toutes les autres, la geisha est coiffée d’un chignon traditionnel de son pays, ceci est souvent fait par des coiffeurs spécialisés ou ce qui est plus rependu, des perruques… dans son cas ce son ses véritables cheveux. Sa tignasse est relevée en deux parties et au milieu duquel se trouve une étoffe de soie rouge, les plus veilles portent un autre type. Les chignons, en général, sont ornés de peignes ainsi que d'épingles nommées « kanzashi ». La description de son corps est finie, le principal à été cité.

      Toutes les geikos sont habillées d’un kimono mais les motifs qui ornent celui-ci sont différents comme les couleurs, d’ailleurs ils changent selon les saisons tels que le kimono d'été ou « ro » est en simple gaze de soie, le kimono d'automne ou : « hitoe » est en soie non doublée et enfin le kimono d'hiver ou « awase » est doublé de crêpe. Le sien est dans de couleur vive (Jaune+rouge), les plus anciennes portent des plus discrètes contrairement à elle. Une large ceinture de soie nouée dans le dos permet de maintenir son accoutrement, celui-ci est noué selon l’âge de la porteuse, celui-ci est mis en « darari obi » ou autrement dit « en traîne » car elle est encore assez jeune. Tandis que dans le dos, le nœud remonte jusqu’aux omoplates dont les bouts trainent presqu’à terre, il est de teinte rouge. Enfiler tout ceci est comme pour le maquillage, quelque chose de très complexe et très cher. En guise de sous-vêtements, Naoko porte un « koshimaki » ou « couvre-hanches », ceci est une simple bande de tissus fin enroulée autour, comme son nom l’indique, des hanches puis une combinaison en harmonie avec les couleurs de son kimono car cela se voit à deux endroits comme au niveau des chevilles et au niveau du col, le sien est blanc. Ses pieds ont des chaussettes tabi, une étoffe de soie et de scandales de bois.

            Mademoiselle Naoko Kawamata ne connut que ses véritables parents lors d’une courte période, ceux-ci décédèrent alors que la jeune femme avait seulement quinze-ans, cependant elle fut acceptée sans le moindre problème dans une Okiya, une maison pour les geishas. L’âge requit pour débuter l’apprentissage était par ailleurs celui qu’elle possédait, c’est notamment dés son admission que celle-ci commença ses études telles qu’apprendre à maîtriser certains instruments de musiques, la cérémonie du thé, la composition florale, la poésie, la littérature japonaise et surtout la danse traditionnelle. Comme cela doit se faire obligatoirement, une ancienne de cet établissement la seconda entant que « grande sœur » ou plus communément appelée au Japon : « oneesan », les deux filles devinrent très proches et s’aimèrent énormément. Leurs liens furent réellement unis au moment de la cérémonie appelée « san san ku do » où elles durent boire trois gorgées dans trois coupes de saké, une boisson alcoolisée. Les jours qui précédèrent cet acte étaient ceux où la nouvelle arrivante se proclama sous le nom de Naoko provenant de la racine du prénom de sa compagne et obtient, par la même occasion, véritablement le titre de geisha. Durant quelques années, elle assista et prit des notes de son amie lors des fêtes organisées pour divertir des clients pour apprendre le port de kimono, différents jeux et l’art de divertir les personnes présentes jusqu’à ce qu’elle puisse elle-même participer aux réceptions. Les gains étaient partagés de façon à ce que la plus âgée ait plus. Néanmoins, ce fut des épreuves pour la jeune fille, tout ceci était très stricte pour n’importe quelle novice mais celle-ci atteignit le but tant convoité des autres. Naoko termina officiellement sa formation qui fut approuvée par une cérémonie nommée : « erikae », celle-ci remplaça le col rouge de maiko par le col blanc des geishas confirmées. Dû à leurs grandes affections, la grande sœur surveilla tout de même la nouvelle geiko et les deux gardèrent un bon contact et s’aidèrent l’une et l’autre pour des réceptions avec des gens, en plus les deux femmes excellaient dans la même branche qui était la danse, elles mouvaient gracieusement leurs corps selves au fil de la musique et des regards ébahis qui admiraient leurs beautés respectives et leurs légèretés… c’était si magnifique à voir. Derrière cet aspect-là de sa vie, la sublime danseuse dû être protégée par un « danna », un homme riche qui lui offrait toutes sortes de cadeaux afin de combler sa belle, cependant cela appliquait qu’ils devaient également avoir des relations sexuelles ensembles mais jamais ils n’en eurent tout comme elle ne se maria pas sinon sous peine de devoir démissionné de son poste. Il y en était hors de question. Des jours, des mois et des années coulèrent au sein de cette maison de geishas située à Kyoto, elle acquit la responsabilité d’obtenir une petite sœur et d’assurer son initiation, tout comme elle et sa « oneesan » il y eut une bonne entente et des rires. En effet entre ce duo il s’installa une complicité mais Mademoiselle Kawamata dû également être sévère, c’est comme cela qu’il faut être avec les jeunes, en insistant sur une phrase qui la dorénavant marquée : « Tu dois avoir la délicatesse d’une fleur… tu dois être la force et acquérir la souplesse des saules. Ne l’oublie pas, tu appartiens, entant que geisha, au monde des fleurs et des saules. », au début elle n’avait pas compris la signification de ces paroles mais en ayant plus d’expérience celle-ci agréa ces dires et les transmit aux nouvelles arrivantes. Voila, depuis son enfance tragique que celle-ci cacha et oublia derrière les arts, la petite adolescente devenue plus veille vécu toute sa vie dans ces lieux avec sa grande sœur, sa petite sœur et les autres. Malgré qu’elle pouvait quitter cette Okiya et vivre selon ses moyens, elle resta là et partagea son savoir aux geishas moins expertes, de plus les financements étaient gérés par la maison donc celle-ci ne pouvait pas craindre de se retrouver dans les rues à mendier afin d’assouvir ses besoins.

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      La « onna geisha » vivait paisiblement son existence à Kyoto, une ville réputée pour le nombre important et croissant de geiko. Celle-ci coulait des jours heureux dans l’Okiya de sa jeunesse toujours vêtue de son kimono qui flottait avec soin dans les pas de dance de sa porteuse. Mais cette paix fut brisée par un phénomène étrange qui remonte à peu de temps, une chose inexplicable qui se produisit subitement sans s’annoncer… qu’était-ce donc ? Alors que Naoko était assise dans sa chambre à méditer sur l’avancement des études de sa petite sœur, enfermée par les portes coulissantes, elle se sentit subitement légèrement mal à l’aise… sa tête devenait lourde, ses paupières maquillées se fermaient petit à petit pour laisser son buste s’effondrer complètement à terre, sous le choc de sa tête contre le sol fait de bois elle perdit instantanément connaissance. Son réveil se fit sur une plage qui scintillait comme des diamants, non loin, des vagues s’écrasaient dans un fracas assourdissant mais cependant agréable. Le visage barbouillé de blanc et de grains de sable, la geisha prit conscience qu’elle n’était certainement plus à sa maison mais également plus au Japon à Kyoto mais sur une île encore inconnue. Marchant en titubant encore étonnée et sonnée de cette étrange et inopinée découverte, Mademoiselle Naoko Kawamata prit direction vers le village de l’îlot. Les gens la dévisageaient dû à son accoutrement peu répandu, à son visage extrêmement blanchâtre et sa coiffure, c’était pour elle une sensation désagréable. Son pèlerinage à travers cette foule d’yeux se termina devant une énormément maison bordée par d’immenses grilles rouillées et de grands arbustes dont elle pu lire une enseigne expliquant que c’était un internat et que cet établissement était en manque de professeurs. C’est avec détermination que la geisha poussa les grosses portes en bois massif afin de proposer sa candidature au sein de l’Internat de Chiyo en espérant au fond d’elle de retourner dans son Okiya dont le blason qu’elle regardait fièrement lui manque… que l’avenir lui réserve-t-il ?

- Je dois avoir la délicatesse d’une fleur… je dois être forte et acquérir la souplesse d’un saule… j’appartiens au monde des fleurs et des saules, je suis une geisha. murmura-t-elle en songeant aux événements d'auparavant.

            Aucunes armes ne sont en sa possession, malgré le fait qu’elle semble très faible dû à son apparence frêle, Mademoiselle Kawamata est très agile et peut se battre à mains nues malgré les mouvements étant ralentis par sa tenue… de plus elle n’est pas dépourvue de magie, la jeune femme peut déchaîner les élément en invoquant une tempête de feu sur l’ennemi visé, d’énormes boules rougeoyantes et scintillantes s'écrasent lourdement sur la pauvres cible prise au dépourvu… son deuxième pouvoir concerne la glace, elle peut envoyer des piques de glace qui congèlent tout à coup durant deux ou une minutes.

            Il n'y a plus Mikuru, elle est remplacée par Naoko. Je me suis dit que s'il y avait au moins la présence d'un professeur cela pourrait faire avanver un peu plus l'histoire de certaines personnes et ça changerait des étudiants. Cependant, c'est mon premier personnage à être réellement inventé et sortit de mon imagination, hier. J'espère néanmoins que l'histoire est convenable. J'aimerais vraiment vos avis à tous sur cela, s'il-vous-plaît... du moins si vous vous voulez lire. ^^"
さもなければ、ありがとうございます !

            Hokuto-Chan ! =D

            Nya ! Qu'aimes-tu dans ce nouveau personnage ?

            À dire que j’ai eut l’idée le jour d’avant en regardant « The Grudge 3 », le truc qu’y n’a rien avoir avec mon personnage, bon peut-être à part le prénom et le nom qui vient d’une des filles de là. Sinon je suis ravie que ça te plaise ! Je me suis dit qu’une geisha dans cet internat comme professeur ça ne serait pas mal, celle-ci pourrait apprendre en même temps ce qu’elle a étudié elle… puis elles sont si jolies !De plus ça change des autres. Après ben, l’histoire et le reste ne sont peut-être pas terribles car je ne m’y connais pas encore beaucoup sur ces artistes, d’où le fait que je demande l’avis des membres, voir si c’est compréhensible, bien écrit et cohérent. xD

            Yatta ! Arigato ! Sinon, ma fiche est-elle « OK » ? ^_^